Catégorie : Actualité

Concept marketing avec MaValeurAjoutée

MaValeurAjoutée !

Service de conseil et d’accompagnement, « MaValeurAjoutée  » est la continuité d’une logique de communication globale.

concept marketing

Ce service proposé par ScribéCom n’est pas nouveau, mais simplement mis en avant.

Il intervient en amont de votre création d’activité, avant même de vous lancer…

3 constats à l’origine de ce service…

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Bonne Année 2015

À la moitié d’une décennie, on réfléchit et l’on grandit.
Parce que les algorithmes ne font pas tout, la 
communication aura toujours besoin de bons mots, de mots qui ont du SENS.
Évitons de devenir prisonniers des machines connectées, mais utilisons-les en étant nous-mêmes, prêts à partager des rêves, de belles réalisations et de belles histoires vraies. 
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Pourquoi un site Web n’est pas virtuel

incenuncLe week-end dernier, je souhaitais faire découper une planche assez épaisse, que je ne me voyais pas scier moi-même. Pour cela, je voulais m’enquérir du coût de la main d’œuvre, curieuse également de connaître la gestion de ce type de service au sein des enseignes de bricolage bien connues (les tarifs ne sont pas indiqués sur leur site respectif).

Je téléphone donc à la première, la plus proche de chez moi, de couleur verte, son double nom rappellant l’enchanteur, roi des bois et de la magie… Là, je tombe sur une voix off me proposant des choix, mais ce n’est pas très clair. Je dis « accueil » car je voudrais joindre le rayon bois ou découpe. Je tombe enfin sur une hôtesse, qui me dit, « je vais prendre votre nom, il vous rappellera »… Oui, sauf que ce genre de marketing déguisé, très peu pour moi, et surtout, je veux juste une réponse avant de me déplacer.

Ni une ni deux, j’appelle la seconde enseigne, celle chez qui « y a tout c’qui faut » paraît-il. Là aussi, on me demande de faire un choix, mais celui-ci est plus clair. Et c’est sans passer par l’accueil que je joins directement le rayon Bois où un employé me répond aussitôt et gentiment le prix qu’il m’en coûtera selon le besoin décrit. Ma décision est prise !

Parallèle entre IRL et virtuel

Si je raconte cette anecdote, c’est parce que je la trouve symptomatique des différentes approches de service et d’information, et surtout très proche d’expériences similaires lorsque l’on surfe sur Internet. En effet, un site Web est aussi là pour apporter de l’information. Le contenu d’un site est tout sauf virtuel, c’est une donnée concrète, qui peut servir à l’utilisateur.

Il ne faut jamais négliger l’utilisateur qui cherche une info à un instant-T qu’il considère comme son présent. Nous avons affaire à de la communication certes numérique, mais bien réelle !

Si l’internaute surfant sur un site, est obligé – comme pour la première enseigne de bricolage citée plus haut – de montrer patte blanche et d’attendre que l’on veuille bien le joindre avant de pouvoir espérer une réponse à une très simple question, c’est qu’il y a un problème.

Sur le Web aussi les créateurs d’un site doivent savoir se remettre en question s’ils veulent éviter que ce même internaute (consommateur potentiel) aille voir ailleurs, par un comportement humain tout à fait naturel et tout sauf virtuel.

Dans cette expérience décrite, il y a bien eu un effet dans ma vie réelle (et actuelle) qui a abouti à une action immédiate.

Au passage, la définition de « virtuel » dit de ne pas confondre le réel et l’actuel. Néanmoins, un ordinateur est bien un matériel physique et même si, effectivement, l’information paraît « virtuelle », il n’empêche que sur le plan du réel, et au moment où l’on cherche une réponse (donc une information), avouez que le lien est très mince.

Ces notions sont évidemment subtiles surtout si l’on en juge par la définition philosophique du terme.

Je pense pour ma part qu’un contenu intégré dans un site est quelque chose de non seulement réel, mais d’actuel et non pas « en puissance ». Dans le sens bien sûr de « actuellement telle est l’information délivrée aujourd’hui sur tel site », MÊME si celle-ci n’est pas actualisée… (La confusion ne vous donne pas trop mal au crâne ?).

Quoi qu’il en soit, ma démarche qui tenait du bricolage était beaucoup plus pragmatique que philosophique. La question était : « Concrètement, comment je fais pour avoir une réponse là, ici et maintenant ? »

PS : en parcourant un petit km de plus, j’ai pu faire découper ma planche rapidement car ici, l’enjeu était plutôt d’éviter de perdre du temps.

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Pourquoi un site, c’est surtout du contenu

Contenu de siteAujourd’hui, j’aimerais rappeler ce qui constitue la principale caractéristique d’un site, sa raison d’être, fondamentale : le contenu.

Sans contenu, point de site ou blog qui vaille ! Le web design et l’ergonomie sont certes très importants, mais ils sont là justement pour mieux servir votre contenu.
Sans parler de l’aspect technique !
Vous aurez beau avoir un site magnifique, fluide, responsive, tout ce que vous voulez, les internautes passeront leur chemin sur trois critères :

1.  Si vous ne proposez pas de contenu, ou alors minimaliste.
2.  Si vous avez du contenu, mais inintéressant ou inutile. 
3.  Si votre contenu est mal présenté. 

Point 1. : même pas la peine d’y penser ! Le contenu, si possible en quantité, est indispensable, ne serait-ce que pour le référencement (voir plus bas). La question est plutôt de savoir quel contenu proposer ?

Point 2. : il s’agit du FOND.
Votre message, vos informations doivent répondre à la curiosité de l’internaute. Qu’est-ce vous voulez montrer, faire passer, à qui, pourquoi ? C’est en fonction de vos objectifs et d’une stratégie réfléchie que le contenu du site se dessine. Hormis le propos, il y a les boutons, les liens (vers vos réseaux sociaux, par exemple). Et quid d’un blog ?, etc. Autant de fonctionnalités à ajouter ou non. Une hiérarchisation cohérente est impérative.

Point 3. : il s’agit de la FORME.
Si votre message est mal formulé, mal construit, ou pire, s’il comporte des erreurs, au lieu de séduire et d’accrocher, il va rebuter. C’est le meilleur moyen pour que l’on vous oublie.

Il faut savoir qu’outre les moteurs de recherche, l’internaute aussi est exigeant. Il est même souvent pressé. Curieux, il est là pour découvrir, mais surtout pour repartir avec une information. Celle-ci doit lui être offerte de manière doublement qualitative, à savoir : utile sur le fond (intérêt) et agréable dans la forme (confort de lecture). Ce dernier critère est directement lié à sa présentation : le web design entre en jeu ici.
N’oubliez pas également que des choix techniques se décident souvent selon la nature de votre contenu.

Contenu = Référencement

search-engine-optimization-1521118_640Le principal intérêt d’enrichir votre site ou blog avec du contenu ?
Il booste votre référencement.

La gestion d’un contenu est multiple, puisqu’elle repose à la fois sur sa présentation et sur sa qualité rédactionnelle.

Pour un contenu offrant d’autres formes (vidéo, image, slide, diaporama, visuel de toute sorte..), il est évident que la qualité de traitement doit être, là aussi, au rendez-vous. Pour ne pas partir dans tous les sens, il est fortement recommandé de créer une feuille de route, un ensemble de règles qui s’appelle une stratégie éditoriale. Cette dernière vient s’inscrire dans la stratégie digitale globale, en espérant que vous en ayez une.

J’entends régulièrement des clients commencer par demander « je veux un beau site » ou bien « je veux un site comme celui-là »… et surtout je veux être référencé !
Je n’ai qu’une réponse : réfléchissez à ce que vous voulez mettre dedans et après on verra…

Le contenu est à un site ce que le vent est à une éolienne.

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Blog : pensez à long terme…

Blog_(1)C’est la rentrée ! Les réseaux sociaux recommencent à bouillir.
La rentrée, c’est un peu comme le 1er de l’An, on a envie d’exprimer des résolutions, ou en tout cas de commencer des choses. Comme par exemple un blog…

Beaucoup d’entreprises se lancent « parce qu’il faut être sur Internet » ou pour se faire connaître davantage. Un blog, c’est interactif, c’est plus souple qu’un site, c’est plus vivant quoi. Certes.

Mais après cet enthousiasme plein de motivation, voyons de plus près ce qui vous attend :

 

1.   Savoir à qui vous vous adressez (cible).
2.   Savoir ce que vous allez dire (ligne éditoriale).
3.   Choisir comment vous allez le dire (ton, style).
4.   Trouver des sujets intéressants et que vous maîtrisez (contenu).
5.   Savoir bien écrire (webrédaction). 
6.   Poster très régulièrement (référencement, fidélisation).
7.   Relayer votre publication via les réseaux (diffusion, partage).
8.   Prendre le temps de faire de la veille (lecture, tri).
9.   Analyser le trafic de votre blog (visites, link, top rank).
10. Surveiller et gérer les éventuels commentaires (modération).
11. Pouvoir répondre immédiatement et correctement à un commentaire (réactivité).
12. Surveiller ceux qui relaient votre publication ou qui en parlent (remerciements).

Non, non, ce ne sont pas les douze travaux d’Hercule, mais une simple mise en pratique d’une stratégie digitale

Au point 8., on ajoutera la concurrence.
Au point 4., on ajoutera le temps pris pour trouver et choisir une image libre de droits ou achetée (photo, vidéo, dessin, infographie) de bonne qualité évidemment.

Le temps, l’ami ou l’ennemi de votre blog

Vous vouliez créer un blog pro ? C’est une bonne idée, mais pour en récolter les fruits, sachez être patient et surtout être disponible…

Si en raison d’un temps conséquent dont ni vous ni votre équipe ne disposent, vous n’allez pas pouvoir assurer ces douze points tout au long de l’année et pour une période indéterminée, alors mieux vaut ne pas commencer. Ce serait contre-productif, surtout pour votre image !

Heureusement, il existe des solutions pour assurer à votre place cette course de fond : sous-traiter par exemple.

Bonne rentrée à tous ! Et n’oubliez pas : on a toujours besoin d’un bon contenu…

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En été, pensez à updater

Voilà l'étéVoici que l’été nous tend les bras et déjà dans tous les esprits s’installent une sorte de relâchement tranquille, avec en arrière-plan, l’image de la mer, du soleil, du sable, des lunettes de soleil, bref un air de vacances qui sent bon la vitamine D et le farniente.

Sauf que justement, juillet et août sont des mois merveilleux pour faire un peu de ménage et bien préparer la rentrée. La saison estivale est même propice à veiller davantage, à se remettre en question, à faire de la place, à supprimer ou actualiser, bref à updater son image et son positionnement.

Sur les réseaux sociaux également, il est peut-être temps de faire ce que vous avez toujours décidé de faire mais que vous avez remis tout l’hiver…
Et puis, l’été, c’est aussi l’occasion d’updater… ses rêves, de reprendre ses projets dormant dans un tiroir, pardon dans un dossier (voire dans un cloud), qu’ils soient en lien avec Internet ou pas d’ailleurs.

Quoi qu’il en soit, le fait de mettre les mains dans le cambouis pour arriver à la rentrée tout propre – « même chose tout neuf » – provoque toujours un plaisir non dénué d’autosatisfaction. Alors à vous de jouer !

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Site web : l’importance du cahier des charges

Metre_pliant_500pxVous passez un accord de création de site avec un nouveau client ? Bravo. Mais n’oubliez pas que le principal outil de cette mission, celui qui va « graver dans le marbre » votre réflexion et vos propositions, puis qui servira de support de réalisation, s’appelle le fameux cahier des charges.

Qu’il fasse 15 pages ou qu’il tienne sur 2 pages seulement, selon les cas, l’important est d’avoir un écrit… validé (signé) par votre client.

Pourquoi un cahier des charges est-il fondamental ? Non seulement pour produire une feuille de route répondant aux attentes, besoins et solutions de la demande, mais aussi pour vous doter d’une forme de sécurité. En effet, la majorité des clients n’ont pas souvent idée de tout ce qui doit être réfléchi, choisi et réalisé pour obtenir un site à leur goût… oups, pardon, un site efficace pour les visiteurs.

Eh oui, voilà bien un caillou sur le chemin de la création de site web : le client qui, une fois son site terminé et en ligne, découvre ultérieurement un autre site qui lui plaît dans son aspect et dit “finalement, je veux ça, on peut rajouter ça ?”. On l’a tous connu.

Le cahier des charges est un outil qui sert à pallier ce genre de déconvenues. Mais, même si l’on arrive à s’entendre, même si le client veut ajouter une page à son site, après que tout soit terminé… on doit toujours faire preuve de patience et de diplomatie pour expliquer pourquoi tel choix est meilleur qu’un autre, en termes de design, de couleur, de typo, mais aussi de fonctionnalités, d’emplacement, d’ergonomie, de contenu, de référencement.

Entre ce que le client “veut” et ce que vous, vous savez ce qui est bon pour lui, vous devez redoubler d’effort pour argumenter des notions qu’il ne comprend pas toujours. C’est normal puisque la plupart sont souvent néophytes dans ce domaine.

Or, bon nombre de personnes pensent que c’est facile. Certes, ce n’est pas si compliqué en termes techniques de mettre un site en ligne… mais il y a tout le reste justement. Le reste ? C’est toute la partie immergée de l’iceberg, que l’on ne voit donc pas… Sans parler de la sécurité et de la maintenance (à l’année) dudit site.

C’est-à-dire, en amont, une tonne de questions à se poser sur la structure, le contenu (mon cheval de bataille), le design, l’arborescence, les fonctionnalités, autant de paramètres à gérer avec harmonie, après avoir analysé évidemment en priorité l’objectif dudit site. Or, le client n’a bien souvent aucune idée du TEMPS que cela représente !

C’est là qu’un cahier des charges est une aide précieuse. Car si après avoir validé son contenu (charte graphique, délai, traitement en tout genre, contenu, en prenant en compte profil du client, cible et objectifs de sa visibilité en ligne), le client souhaite changer de couleur ou ajouter un élément, il doit savoir que vous allez devoir passer à nouveau du temps pour intégrer la demande tout en gardant l’harmonie globale.

Parfois, une seule petite demande de rien du tout doit faire l’objet d’une intrusion conséquente dans le code : tout cela, bien évidemment, engendre un coût supplémentaire pour le client. Il faut qu’il le comprenne : certaines actions qui semblement insignifiantes, mais qui demande d’ajouter du code par exemple, les minutes accumulées peuvent se transformer en heure. La facture peut vite grimper.

Qu’il change d’avis en court de route, voire après que le site soit terminé, c’est son problème, mais c’est aussi le vôtre. Quoi que vous soyez amené à modifier, cela s’inscrit dans un travail. Temps supplémentaire = temps payé.

C’est pourquoi, tout doit être clair dès le début. Un cahier des charges, ça sert aussi à ça, à stipuler par exemple que toute modification demandée par le client, sera facturée en supplément. CQFD.

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Bon Anniversaire !

ID-100211488Mon activité actuelle est née le 2 avril 1997, après plusieurs années de journalisme, toujours en freelance.

17 ans déjà !

J’ai déménagé quelquefois (principalement en raison du bruit, car j’ai besoin de silence total pour bien travailler…).
Mais depuis le premier jour, force est de constater que les plus grands changements se sont produits sur Internet

J’ai vu naître les premiers sites, à l’époque, les magazines papier parlaient timidement de « NTIC » dans des rubriques « multimédias ».
J’ai découvert la fonction du Net en 1991, en Angleterre : lorsque j’ai compris le procédé, j’ai tout de suite senti que cela allait THE Revolution.
J’ai commencé à surfer en 1994. Cela fait donc vingt ans que je vois des fonctionnalités changer à la vitesse de l’éclair.

Je me souviens encore de la première vidéo que j’ai téléchargée vers 1997 : c’était une émission américaine et elle avait mis 45 minutes à m’apparaître… alors que j’avais un Mac performant pour l’époque.
C’était juste incroyablement magique. Ne riez pas… Et pourtant, je ne suis pas une mamie.
Cela montre bien la fulgurance du développement technologique.
Toutes ces années de surf écranique (notamment avec Netscape) ont pu également me permettre d’observer différents changements, pas toujours positifs d’ailleurs. Mais il serait trop longs de les énumérer ici.

Enfin, toutes ces années, jour après jour, sont toujours une surprise. Et le merveilleux de ce genre d’activité est d’échanger avec des clients, qui ne sont jamais les mêmes. Chaque mission est unique. On s’y implique pareillement avec passion, quels que soient la taille de la demande et le type de service. Je pourrais écrire durant des heures tant j’aime mon métier… qui commence avant tout par aimer servir, aimer apporter une solution à un besoin.

Mais je dois vous laisser, car j’ai un gâteau au four… pour fêter un heureux anniversaire à ScribéCom !
Comme dirait Higelin : « Champagne ! »

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Le flat design

Ce week-end précédant la « rentrée » des vacances de février, je me suis intéressée au flat design. Voici le résultat.

Qu’est-ce que c’est ?
En français, flat design veut dire « design plat » : il s’agit en fait d’un site Web qui défile sur une seule page. Ici, pas de structure compliquée ni d’arborescence digne d’une forêt tropicale. On fait défiler le contenu de haut en bas. Et on a tout à la suite. Un peu comme un blog, à ceci près que les articles sont des « rubriques » créées les unes en dessous des autres.
On peut choisir d’avoir un menu ou pas. Celui-ci est placé en haut ou sur le côté et reste fixe pendant le défilement.

La simplicité de l’effet produit peut perturber les habitués d’un webdesign multi pages, mais pour ceux qui souhaitent une présentation simple, l’idée est plutôt bonne. On perd moins de temps à sauter d’une page à une autre, avec également moins de risque de se perdre.

À quoi ça sert ?
Le flat design est-il intéressant pour tous les sites ? La réponse est non, bien sûr. Cette approche est particulièrement faite pour ceux qui ont peu de contenu. Par exemple pour présenter un profil, un CV, un événement ou encore une startup en pré-démarrage. C’est sympa aussi pour un freelance.
Mais si vous voulez entrer dans le détail cela peut s’avérer contre-productif.

À vous de voir. En tout cas, une chose est sûre : flat design ou pas, aujourd’hui, tout site se doit d’être responsive, c’est-à-dire correctement s’adapter aux différents formats de tous les supports numériques.

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Vacances d’hiver : inventaire

ValdisèreLes Bretons sont en vacances ce soir ! Deux semaines off pour la Bretagne qui fait partie de la zone A. Deux semaines, c’est long. Pour ceux qui ne lèvent pas le pied, un léger ralenti se fait toutefois sentir. Ces périodes de « vacances scolaires » (qui reviennent quand même très souvent tout au long de l’année !) sont l’occasion de faire un peu de ménage.

Un inventaire en plein hiver ?  Non non, il ne s’agit pas de vider le grenier sur la chaussée pour dépoussiérer tout ça. Ici, pas de risque de prendre froid, tout est virtuel. Et c’est au chaud, derrière son écran, que l’on va créer sa todo list.

Pour gérer quoi ? Eh bien, voyez-vous, de temps en temps, il est bon de jeter un œil sur les données partagées sur la toile :

  • relire ses articles de blog pour vérifier si les liens inclus à l’époque sont toujours valables. Un fail est si vite arrivé !
  • actualiser (updater) les plugins et versions WordPress.
  • regarder si ceux que vous suivez sur Twitter continuent de tweeter régulièrement et utilement ; à défaut, pas de scrupule à se défollower d’un compte inerte depuis plusieurs mois.
  • effectuer une sauvegarde (backup) des contenus de tous vos sites qui ne le font pas automatiquement.
  • rédiger des brouillons afin d’avoir un stock de futurs articles prêts à poster sur vos blogs.
  • découvrir les nouveautés en matière d’outils utiles à la gestion d’un site.
  • repérer les sujets de cours délivrés par les MOOC et s’y inscrire éventuellement (formation perpétuelle).
  • lister les conférences en ligne de l’année à ne pas manquer, ou à revoir.
  • chausser ses après-skis… heu pardon, télécharger Kapersky dernière version.
  • surfer, surfer, surfer (sur le Web, pas sur la neige, parce qu’en Bretagne on n’en a rarement…) : pour prospecter, veiller, s’informer.
  • nettoyer son iMac.
  • bref, préparer le printemps qui arrive (déjà) dans trois semaines…

Au fait : bonnes vacances !

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1er janvier… Bonne année !

2014Voilà, nous y sommes ! Le 3 a laissé la place au 4
Ça y est ? Vous vous décidez à lancer votre startup internet ? N’oubliez pas que votre communication aura besoin de contenu qui trouve les bons mots…
Vis-à-vis des clients (actuels et futurs), toujours ces quatre verbes indéfectibles :
écouter, échanger, répondre, satisfaire

ScribéCom souhaite à tous une excellente année !

(cliquez sur l’image pour voir nos vœux)
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29 novembre : chaque jour est différent !

PhotoPubDepuis septembre, j’ai pu constater que le référencement de mon nouveau site fonctionne bien. De nouveaux clients appellent.
Bien sûr, une fois le devis transmis, on n’est pas forcément choisi par le client. En raison notamment d’une concurrence qui écrase les prix (souvent au détriment de la qualité, d’ailleurs)…

Mais lorsqu’une mission démarre, et bien qu’il s’agisse toujours de communication, il est impossible de s’ennuyer parce que le défi n’a jamais les mêmes habits.
Certes le ou les objectifs sont souvent les mêmes, néanmoins, chaque activité possède ses spécificités et chaque contenu, adapté, est forcément différent. C’est pour cela qu’aucune mission ne se ressemble. Pour communiquer, on a beau utiliser le même processus, la même technique, un même support, la richesse de la relation, la nature de la demande et le contenu unique font que les jours passent mais ne se ressemblent pas. Parce que derrière chaque demande, derrière chaque entreprise, il y a avant tout un être humain.

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13 septembre : vendredi, quoi !

GGBPour ce vendredi 13, un petit clin d’œil au calendrier.

Voici deux mois et demi que j’ai changé d’adresse : de Rennes à Vannes, il y a la voix express et 1h de route tout juste.
C’est le même temps que met ma cousine pour rallier San Rafael à Palo Alto par le Golden Gate Bridge.

Mais ce court trajet d’une heure m’a aussi fait changer de département, et même si c’est la porte à côté (et la même région), j’ai déjà relevé quelques différences…

ààà

Ce qui ne change pas

  • Les travaux BTP (beaucoup de constructions de nouvelles résidences) et surtout le bruit que cela occasionne… ; les travaux de voiries qui comme partout, vous enquiquinent toute l’année. Bien qu’à Vannes, ils soient moins nombreux semblent-il.
  • Le périph extérieur : souvent plein. Je n’ai jamais compris cette circulation concentrée particulièrement entre Vannes et Auray (il y a un spot de kitesurf quelque part ?).
  • Ici aussi, il y a une petite technopole ; plusieurs startups tech sont concentrées au Vipe.
  • Restaurants : comme à Rennes, les végétariens qui souhaitent manger vraiment bio, voire bio et local, n’ont pas beaucoup de choix.
  • Et ici aussi, comme ailleurs, 90 % des automobilistes, utilisent rarement leurs clignotants…

Ce qui change !

  • Le petit périph intérieur (si, si, il y en a un) : quasi vide, fluide, le rêve.
  • À Vannes, on peut porter des chaussures de pont, ça passe inaperçu, c’est même anormal si on n’en a pas. Ça tombe bien, je suis quasiment née avec. De même, beaucoup de voitures arborent l’autocollant de la SNSM (bien ça).
  • Le chant des oiseaux : il y a des pigeons ici aussi, des pies également, mais ce que l’on entend le plus, ce sont les mouettes ! On ne peut pas se tromper, même si le port de Vannes est au fond du golfe, on sent la mer.
  • Les horaires des commerces, hormis la restauration (encore que) : moins élastiques, difficile de tomber sur un magasin ouvert entre midi et deux (je ne parle pas des grandes surfaces). Le soir, n’en parlons pas.
    Les boîtes aux lettres de La Poste : moins nombreuses ? En tout cas difficiles à avoir sous la main.
  • Il y a davantage de verdure (d’arbres notamment), même si le mitage du territoire communal évolue en raison de la demande exponentielle pour habiter dans le coin.
  • On respire mieux quand même, c’est-à-dire à peu près encore potablement, si l’on considère que les particules fines n’altèrent pas (encore) tous les jours le ciel.
  • La cantine numérique : heu, il n’y en pas en fait ! À bon entendeur…

Évidemment, étant née à Paris, et ayant toujours trouvé ma capitale peu gigantesque, imaginez comme je trouvais Rennes petite ville. Alors Vannes, oui, pour moi, est une bourgade. C’est ainsi. Heureusement, la question n’est pas la quantité de mètres carrés sur un territoire, en l’occurrence une commune, mais son dynamisme.

 

26 août : la rentrée sonne à la porte

RentréeLes plages s’aèrent, les routes bouchonnent dans l’autre sens, et les bureaux retrouvent leurs cliquetis informatiques.
Pas de doute, la rentrée pointe son nez. On le sent dès aujourd’hui sur Twitter par exemple où l’actu frémit de nouveau, plus riche, plus informative.

De mon côté, en ce premier jour de la semaine, me voici en rendez-vous pour fignoler certaines choses avec un nouveau client, voilà une journée bien remplie par un travail comme je l’aime !

Alors bonne rentrée à tous ! Il y a du pain sur la planche dans ce monde en mutation, qui avance, qui avance.
Une chose est sûre : on aura toujours besoin de communication

23 juillet : transition

La TrinitéÇa y est, je viens de terminer la refonte de mon site scribecom.fr !

Après un déménagement sur Vannes (golfe du Morbihan) fin juin, il fallait préparer la rentrée de septembre en arborant un look tout neuf, sans pour autant changer le contenu. Voilà qui est fait.

Cela ne veut pas dire « vive les vacances » : si l’été est un moment au ralenti, cette période permet de s’occuper des sujets de blog par exemple… et bien sûr de continuer à écrire, pour soi et pour les autres, tout en gardant un œil sur Internet, passionnée d’information et de veille oblige.

Je souhaite de bonnes vacances à tous mes clients ainsi qu’à tous les autres et bon courage à ceux qui n’en prennent pas tout de suite.
À bientôt !